Tiens le lien : Don’t Shoot The Puppy
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On ne dira jamais à quel point l’utilisation abusive d’un jeu comme Tétris, par exemple, a eu une influence considérable sur notre capacité à ranger les courses dans le coffre, ou remplir un camion de déménagement. Vraiment.
D’autres diront que les nuits passées à massacrer du Terro et du CT sur Counter Strike développent en journée l’esprit d’équipe, d’initiative et d’entraide en entreprise.
Mais si il y a un jeu bien débile qui peut nous servir au quotidien, voire même un Non-Jeu, c’est bien Don’t Shoot The Puppy.
Peut-être le jeu le plus simple au monde. Ne touchez aucun bouton, ne bougez pas la souris sauf pour lancer la manche (au cas ou certains croiraient qu’il suffit de laisser l’ordi tourner tout seul pour avoir un super score). Sinon, le chiot est tué.
Ce jeu travaille deux de vos muscles : celui de la patience, et celui de la cruauté. Si le second n’est pas constamment titillé tout au long de vos journées (du moins, je l’espère), le premier est fréquemment sollicité.
Maîtriser Don’t Shoot The Puppy, c’est affronter la perspective d’un embouteillage, d’une queue à la poste, du rayon jouets d’Auchan, avec le sourire aux lèvres. Et quelques cheveux blancs en plus.