Midi Festival 2010 : spoiler alert !
Quelques petites infos en exclu (que cela reste entre nous) sur la prochaine édition du Midi Festival French Riviera.
Quelques petites infos en exclu (que cela reste entre nous) sur la prochaine édition du Midi Festival French Riviera.
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Je ne suis absolument pas objectif en parlant de Get Back Guinozzi, puisque ce sont des amis d’une part, et que je les aime d’autre part ((j’ai d’ailleurs à plusieurs reprises sur ce site parlé des GBG en Easter Egg, une petite recherche de « get back guinozzi » dans les archives nous fait remonter jusqu’en pfiou 2008)). Leur premier album, Carpet Madness, est sorti fin Octobre chez les anglais de Fat Cat Records, et l’accueil critique assez homogène : pop curieuse et boiteuse, délicieux métissage contrarié, entre Brixton et Toulon, entre les Antilles et New York.
Pour d’autres amis, ceux du magazine Magic!, Fred et Eglantine partagent les albums jalons de Get Back Guinozzi. Une sélection « one-o-one » qui ne dépaysera pas les érudits, mais dans laquelle vous trouverez sûrement un nouveau bonbon (pour moi, ça a été Evangelicals).
Pour vous aider à digérer, je vous ai facilité l’écoute en vous préparant cette playlist Spotify récapitulative [HTML2].
Les GBG seront en concert pour les parisiens le 22 Novembre au point FMR, en première partie d’AUTRES AMIS, les Pains of Being Pure at Heart featuring Peggy de Buzzfeed, puis le 27 Nov à Toulon, le 28 Novembre à Lyon, le 29 Novembre à Dijon, le 30 re-à Paris, et le 1et Décembre DTC.
Alors, heureux ?
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Ces canailles de la blogothèque ont encore fait un très beau cadeau à l’humanité, en nous offrant cette soirée de poche des Kings of Convenience, un de mes groupes préférés. Mer ils sont beaux.
Un appart d’architecte absolument dingue, une ambiance qui démarre en messe versaillaise, et se termine en messe d’école plus joyeuse mais toujours un peu timide.
Le récit de la blogo laisse entrevoir un Erlend Oye anxieux et maniaque, nous évoquant alors les précautions d’un Joao Gilberto, mon dieu musical. C’est encore une fois filmé avec talent et facilité, comme d’hab. C’est filmé au Canon EOS 5D Mark II, en HD mais avec ces optiques de photos qui permettent ces profondeurs de champs magnifiques. C’est très réussi.
En suivant sur twitter les préparations, repérages, et tournages des concerts emporter, puis en les regardant ensuite, il se passe toujours un étrange phénomène. Quand on apprend qu’un tournage a eu lieu, on regrette toujours de ne pas y avoir été. Jusqu’au jour où l’on voit la captation, et d’un coup, comme par magie, on a l’impression déjà d’en partager le souvenir. Et c’est peut-être ça la force des CAE.
Si cette horrible bannière suffit à vous repousser de la Spotify Party n°2, c’est que vous ne la méritez pas. Retournez à vos petites superficialités en écoutant Helmut Fritz. Parce que les sélections Spotify de cette semaine, elles sont authentiques, elles sont roots, elles sont white and black. Elles sentent le whisky et le tabac, elles ont le gout cuivré du sang dans votre bouche, lorsque vous vous réveillez au petit matin la joue collée au trottoir.
Elles ont le prénom d’un barman qui essuie ses verres en vous regardant pleurer une Tracy ou une Amanda, vous ne vous en souvenez plus. C’est pour ça que vous pleurez d’ailleurs.
Vous aviez aimé la saison dernière mes 5 playlists Spotify de la semaine ? Vous adorerez la Spotify Party. Encore plus de playlists, de Lol, de bizarreries, de méga bonne musique, on se croirait sur NRJ dans les années 80 tellement cette certitude est forte, vous en tremblez tellement que vous avez peine à cliquer pour voir cette page dans son intégralité.